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Side Effects

Effets Secondaires

An image never arrives alone. It carries with it traces, friction, unexpected splinters. Ink that is too dense, a stubborn smudge, a screen that goes haywire, a print that goes astray. These marks are called parasites. FX Combes calls them presences. They shift the center of the image, opening up its seams. They introduce a wavering, a slight disorder that brings it to life. The intention exists, of course. But what disturbs it, what diverts it, ultimately gives it its true form. Each work thus retains the memory of a deviation, an accident that has become essential. Side effects are not undesirable consequences: they are the beating heart of the image.
Une image n’arrive jamais seule. Elle traîne avec elle des traces, des frottements, des éclats imprévus. Un encrage trop dense, une coulure qui insiste, un écran qui déraille, une impression qui s’égare. Ces marques, on les dit parasites. FX Combes les appelle présences. Elles déplacent le centre de l’image, en ouvrent les coutures. Elles introduisent un vacillement, un léger désordre qui la rend vivante. L’intention existe, bien sûr. Mais ce qui la trouble, ce qui la dévie, finit par lui donner sa forme véritable. Chaque œuvre garde ainsi le souvenir d’un écart, d’un accident devenu essentiel. Les effets secondaires ne sont pas des conséquences indésirables : ils sont le cœur battant de l’image.