« Digital processing of forgotten flowers allows reality to be manipulated and reinvented. Microscopic details, subtle textures and vibrant colours are amplified and distorted, creating a new visual reality. This digital manipulation acts as a metaphor for memory itself, which is often fragmentary, altered and embellished by time. Each pixel, each algorithm used to process the image becomes a virtual brush, adding layers of meaning and depth to the work. It’s an invitation to plunge into the depths of memory, to explore the layers of forgetting and rediscovery. »« Le traitement numérique des fleurs oubliées permet de manipuler et de réinventer la réalité. Les détails microscopiques, les textures subtiles et les couleurs éclatantes sont amplifiés et distordus, créant une nouvelle réalité visuelle. Cette manipulation numérique agit comme une métaphore de la mémoire elle-même, qui est souvent fragmentaire, altérée et embellie par le temps. Chaque pixel, chaque algorithme utilisé pour traiter l’image devient une brosse virtuelle, ajoutant des couches de signification et de profondeur à l’œuvre. C’est une invitation à plonger dans les profondeurs de la mémoire, à explorer les couches de l’oubli et de la redécouverte. »
« Digital processing of forgotten flowers allows reality to be manipulated and reinvented. Microscopic details, subtle textures and vibrant colours are amplified and distorted, creating a new visual reality. This digital manipulation acts as a metaphor for memory itself, which is often fragmentary, altered and embellished by time. Each pixel, each algorithm used to process the image becomes a virtual brush, adding layers of meaning and depth to the work. It’s an invitation to plunge into the depths of memory, to explore the layers of forgetting and rediscovery. »
« Le traitement numérique des fleurs oubliées permet de manipuler et de réinventer la réalité. Les détails microscopiques, les textures subtiles et les couleurs éclatantes sont amplifiés et distordus, créant une nouvelle réalité visuelle. Cette manipulation numérique agit comme une métaphore de la mémoire elle-même, qui est souvent fragmentaire, altérée et embellie par le temps. Chaque pixel, chaque algorithme utilisé pour traiter l’image devient une brosse virtuelle, ajoutant des couches de signification et de profondeur à l’œuvre. C’est une invitation à plonger dans les profondeurs de la mémoire, à explorer les couches de l’oubli et de la redécouverte. »
